Ce qui l’étonna le plus, pourtant, ce fut la logique de ses ailes. Elles étaient si naturelles dans cet organisme complètement humain qu’on ne pouvait comprendre pourquoi les autres hommes n’en avaient pas.
L’incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique – Gabriel García Marquez (p.16)
J'ai tenté il y a quelques années Cent ans de solitude, puis je l'avais reposé, ce ne devait pas être le bon moment. Comment trouves-tu cette lecture ?
RépondreSupprimerComme je te l'ai dit, je l'ai à peine commencé et ne pourrai encore juger mais j'ai adoré "Chronique d'une mort annoncée"
RépondreSupprimerPhrase mystérieuse. Je ne sais pas quoi en penser !
RépondreSupprimerAlors là, pour un titre de roman, on ne risque pas de l'oublier c'est comme "L cercle littéraire....." !!
RépondreSupprimerAnne (De poche en poche)
Syl. > lis-le ;)
RépondreSupprimerAnne > oui, les titres comme ça c'est terrible ^^